Travailler autrement en alliant les avantages du salariat et de l’entrepreneuriat, c’est désormais possible grâce au portage salarial. Le magazine Capital est venu à la rencontre des équipes d’ITG dans le but de présenter le portage salarial, une nouvelle forme d’emploi en pleine expansion.
Découvrez nos locaux à Paris, le quotidien de nos équipes, ainsi que des interviews de Radhia Amirat (directrice générale adjointe) et Patrick Levy-Waitz (président).
Qu’est-ce que le portage salarial ?
Le portage salarial est une nouvelle forme d’emploi qui va intéresser deux publics : les personnes qui veulent créer une activité et qui vont bénéficier du statut de salarié, recevoir un bulletin d’imposition à la fin de chaque mois, un bulletin d’imposition pré-rempli à la fin de l’année… Ça intéresse également une deuxième population : les demandeurs d’emploi qui peuvent retrouver un emploi par l’intermédiaire du portage salarial en exerçant sous forme de missions et en proposant plus de flexibilité aux entreprises.
Comment ITG garantit-il la confiance que les portés lui apportent ?
ITG a des partenaires sociaux ainsi qu’un comité d’entreprise qui valident, vérifient et sécurisent juridiquement l’ensemble des actes que nous faisons. Sur la question de la sécurité financière, nous avons aujourd’hui plus de 3,5 millions d’euros qui sont bloqués en permanence et qui garantissent les salaires au-delà des garanties assurantielles que nous demande la nouvelle législation, et nous ne touchons jamais à l’argent des consultants car il ne nous appartient pas.
Quel avenir pour le portage salarial en France ?
Les Français ont une aspiration très forte à l’autonomie, à la liberté, à la créativité, à l’envie de créer… et en même temps – toutes les études le montrent – une aversion au risque qui est très forte. C’est évidemment une réponse que le portage apporte aujourd’hui à tous ceux qui veulent créer leur activité, développer leur business, et en même temps, avoir un filet de sécurité.
Le portage est donc amené à se développer dans les années à venir. Au départ, il intéressait plus les seniors en situation de transition professionnelle mais on a aujourd’hui de plus en plus de jeunes.