ITG met à disposition de tous les consultants indépendants son expérience et son savoir-faire dans un parcours de formation dédié au métier de consultant autonome.
Que vous soyez consultant en portage salarial ou indépendant sous un autre statut, ces formations vous donneront les clés pour développer votre chiffre d’affaires !
Pour chaque étape de votre activité, nous avons conçu une offre qui répond à vos besoins opérationnels sous la forme de 2 parcours certifiants déposés au Répertoire Spécifique de France Compétences :
Organisme de formation au service des trajectoires professionnelles. Freeland Académie propose des actions de formations encadrées et formalisées pour accompagner les cadres en mobilité vers les nouvelles formes d’emploi indépendantes.
La certification qualité a été délivrée au titre de la catégorie d’action : actions de formation.
Avec ce parcours certifiant, vous aurez les clés pour bien démarrer votre activité de consultant indépendant.
Définissez et marketez votre offre avec une documentation et une communication adaptée.
Développez un une stratégie réseau et apprenez à la mettre en action dans une optique business.
Avec ce parcours certifiant, vous découvrirez les clés essentielles pour développer, entretenir et fidéliser votre réseau que ce soit en distanciel (réseaux sociaux, téléphone…) ou en présentiel (rendez-vous clients, salons…). Assimilez les techniques de communication pour convaincre vos clients et accroître votre visibilité professionnelle en optimisant et exploitant votre page LinkedIN !
Vous êtes déjà consultant confirmé mais vous sentez que votre activité stagne ? Faite le point sur votre offre et découvrez comment développer votre activité.
Considérée comme un atout indispensable aux freelances, la formation leur permet de mieux se conformer aux besoins du marché. Dans cette perspective, différents modules sont proposés à ces travailleurs indépendants. Concernant le financement des cursus, bénéficier de diverses aides est possible si le CPF de l’auto-entrepreneur ne peut pas appuyer son projet.
De nos jours, le nombre de travailleurs qui choisissent de devenir indépendant est en constante augmentation. À la différence des salariés, ces professionnels ont davantage d’autonomie dans l’exercice de leur activité. Ainsi, la concurrence sur le marché se durcit. Pour rester compétitif, il est alors indispensable de proposer des prestations de qualité qui se démarquent des autres.
D’où la nécessité de passer entre autres par une formation professionnelle, et ce, afin de garantir son employabilité. À ce titre, de nombreuses questions sont fréquemment formulées. Comment financer son projet ? Quel parcours choisir ? Les réponses à ces interrogations seront abordées successivement ci-dessous.
À ce titre, tout travailleur exerçant en libéral a droit à un Compte Personnel de Formation (CPF), dont le solde est affiché en euros. Des innovations instaurées par la réforme de 2019 sur l’apprentissage et la formation professionnelle.
Par rapport à cela, les individus concernés pourront alors mobiliser ce droit individuel pour financer la formation voulue soit partiellement soit intégralement. Si le solde dudit CPF ne peut pas supporter un tel projet, le travailleur autonome peut :
Par ailleurs, il est également possible d’assurer soi-même l’abonnement nécessaire.
Ce type de profil se révèle surtout adroit dans la formation orientée métier et expertise. Pour établir un plan d’apprentissage, les indépendants devront toutefois favoriser des cours centrés sur :
Ce qui leur permettra de gérer davantage de situations (prospection, promotion…).
Par rapport à cela, les freelances qui souhaitent bénéficier du financement octroyé par l’Agefiph devra déposer sa requête chez un conseiller Pôle Emploi. Ce dernier communiquera le dossier à un homologue de l’association.
Accessible à tout travailleur autonome affilié à l’établissement public susmentionné, l’AIF peut également être réclamée à son conseiller. Pour augmenter ses chances de recevoir une réponse positive, il est préconisé d’inclure une lettre de motivation relative au projet de formation dans son dossier.
Concernant le CPF, il est alimenté annuellement de 500 euros :
À ce titre, reporter ses heures DIF (CPF aujourd’hui) avant décembre de l’année dernière est envisageable. Pour conserver ses droits, l’auto-entrepreneur devra alors réaliser le transfert entre les deux mécanismes par ses soins. À noter seulement que ce compte est plafonné à 5000 euros.
Enfin, une cotisation pour la formation professionnelle est payée par les employés indépendants. Reversée à un fonds d’assurance formation (FAF), elle ouvre, sous quelques conditions, droit à un forfait d’apprentissage par an.
Les non-salariés sont soumis au règlement d’une contribution à la formation professionnelle. En échange de celle-ci, ils peuvent se prévaloir d’un remboursement partiel ou total des dépenses sur ladite formation. La gestion de cette aide relève du FAF qui dépend du code NAF du travailleur autonome :
À souligner que si le chiffre d’affaires du non-salarié s’établit à 0 euro pendant 12 mois d’affilée, ses frais de formations ne seront pas pris en charge. S’agissant des apprentissages autorisés sur le CPF, ils portent entre autres sur :
Outre ces éléments, il faut également savoir que chaque FAF fixe ses critères pour attribuer ou non une aide. Pour plus d’informations sur le sujet, il convient de se rapprocher de l’entité auquel le freelance est inscrit.
Concernant la prise en charge, elle s’adresse uniquement aux coûts pédagogiques. Les frais d’hôtel, de transport, etc. ne seront donc pas remboursés. Quant au montant de la subvention, il variera selon les thèmes d’apprentissage déterminés par les représentants du métier. De même, il dépendra du code NAF du requérant.
Pour les consultants autonomes, ITG a déployé différents parcours certifiants visant à procurer aux clients les connaissances indispensables au développement de leur activité. Le salarié porté pourra notamment choisir le pack :
À noter que ces formations sont destinées tant aux consultants en portage salarial qu’aux autres indépendants dans leur ensemble. La spécificité des premiers, c’est que c’est le temps de travail déclaré qui établira un capital d’heures sur le CPF de l’intéressé. Sans activité, il ne peut donc pas mobiliser aucun droit. En revanche, émettre des souhaits d’apprentissage lié au métier exercé est envisageable si la personne a cumulé des droits. L’ entreprise de portage examinera alors les possibilités de financements.