Les chiffres du dernier baromètre Finaxim montrent que le temps partagé est désormais perçu comme un mode d’organisation du travail désirable.
L’émergence d’un nouveau mode d’organisation du travail
« Nous constatons l’émergence de nouveaux profils de cadres candidats au temps partagé au sein de notre réseau. Aujourd’hui, certains de nos nouveaux consultants choisissent de se tourner vers le temps partagé en renonçant à des offres salariées traditionnelles, voire en démissionnant de leurs emplois actuels. Ils viennent chercher un fonctionnement plus en phase avec leur besoin de liberté et d’évolution de leur carrière professionnelle. » selon Stéphane Astruc, Directeur du réseau Finaxim.
Et ce statut semble convenir à la majorité d’entre eux : 91% des professionnels interrogés qui y ont recours souhaitent rester à temps partagé.
« Les résultats du baromètre illustrent ce que nous voyons monter depuis plusieurs années sur le terrain : le temps partagé est plébiscité par ceux qui y ont goûté » constate Emmanuel de Prémont, Président du Groupe Finaxim et partenaire officiel du portail du temps partagé.
Le baromètre démontre que les intervenants qui ont adopté cette forme d’activité sont très majoritaires à vouloir la conserver le plus longtemps possible. C’est aussi une façon de créer et de sécuriser des emplois et des revenus en travaillant pour plusieurs entreprises plutôt que pour une seule. Les entreprises utilisatrices la plébiscitent également dans la durée, alors qu’elles en ignoraient souvent l’existence peu de temps avant.
Flexibilité et diversité des missions
Cette formule est également mise en avant par les sondés comme celle permettant de trouver un équilibre entre vie professionnelle et personnelle ; c’est même la première raison pour 67% d’entre eux.
Elle permet également de varier régulièrement les missions pour le professionnel, en contrepartie d’une plus grande flexibilité pour l’entreprise.
En dépit d’un certain rajeunissement, le travail partagé n’est pas accessible à tout le monde. Si la répartition homme femme est équilibrée, ce sont par contre principalement des cadres (à 88%) qui en bénéficient, surtout dans les domaines des relations humaines ou de la finance et gestion.