La première semaine d’octobre était placée sous le signe de la qualité de vie au travail. A cette occasion, l’étude : “Qualité de vie au travail, regards croisés » (signée Malakoff Mederic) et ses résultats ont été dévoilés. Elle se base sur une enquête menée auprès de 3500 salariés et 500 dirigeants, tous issus du secteur privé.
Cette étude révèle une tendance globale : les salariés, tout comme les dirigeants, sont de plus en plus sensibles à cette problématique. Quels sont les chiffres ? Quelles solutions pour améliorer sa qualité de vie au travail ? Éléments de réponses.
Qualité de vie au travail : des critères similaires pour dirigeants et salariés
Lorsqu’on les interroge sur les éléments qui conditionnent notre qualité de vie au travail, les réponses des sondés sont les suivantes :
- 49% des salariés et 53% des dirigeants citent les relations avec leurs collègues
- 40% des salariés mentionnent la rémunération
- 38% des salariés évoquent la reconnaissance
- 45% des dirigeants pensent que les relations avec les supérieurs hiérarchiques sont un critère essentiel
On retrouve des critères très similaires entre salariés et dirigeants, même si l’étude révèle une différence notable : 71% des salariés “seulement” estiment avoir une bonne qualité de vie au travail, contre 96% des dirigeants.
L’étude révèle par ailleurs une variation des attentes selon l’âge des sondés : les moins de 30 ans sont avant tout sensibles à l’ambiance et aux relations avec leurs collègues de travail, tandis que le besoin de reconnaissance est une priorité pour 42% des plus de 50 ans.
Deux axes d’amélioration ressortent de l’enquête :
- Le manque de reconnaissance, toute tranche d’âge confondue : seuls 3 salariés sur 10 estiment être suffisamment reconnus dans leur travail. Pour 62% des sondés, une meilleure reconnaissance passe d’abord par une revalorisation salariale.
- Les difficultés en matière de gestion du temps. Derrière cette problématique se cache le temps de transport, la difficulté de “se déconnecter” (48% des cadres interrogés disent consulter fréquemment leurs mails sur leur temps libre), mais aussi une quête de souplesse (45% des gens évoquent les horaires, tandis que 27% des sondés aimeraient avoir des possibilités de télétravail).
> Pour en savoir plus, consultez cet article : https://business.lesechos.fr/directions-ressources-humaines/ressources-humaines/bien-etre-au-travail/030692020503-la-qualite-de-vie-au-travail-s-impose-dans-les-mentalites-314394.php
> Pour consulter l’étude « Qualité de vie au travail, regards croisés » en intégralité, cliquez ici.
Le portage salarial, une alternative pour mieux travailler
La question de la qualité de vie au travail est essentielle pour toujours plus de professionnels. Ce phénomène a également un impact sur le développement des formes alternatives de travail, de plus en plus souvents perçues comme une façon de changer son rapport au travail.
Parmi elles, il y a notamment le portage salarial. Cette nouvelle forme d’emploi émergente offre de nombreuses solutions en réponse aux problématiques révélées par cette étude :
- Rémunération : En portage salarial, vous fixez votre TJM et négociez en direct avec votre client.
- Manque de reconnaissance et difficultés hiérarchiques : En portage, vous exercez comme un indépendant : vous n’êtes pas soumis à une relation hiérarchique avec votre client. C’est vous qui, en vous appuyant sur votre expertise, déterminez comment mener à bien votre mission.
- Gestion du temps : Le portage vous permet de gérer votre temps comme un indépendant : vous déterminez votre cadre de travail (domicile, bureau, espace de coworking…). Ainsi, il ne tient qu’à vous de fixer votre temps de trajet et les horaires qui vous conviennent. Par ailleurs, la prise en charge des parties administratives, juridiques, sociales et comptables de votre activité par la société de portage vous permettent de gagner un temps considérable, que vous pouvez réutiliser pour vous concentrer sur vos missions et la prospection.
La liberté totale dont vous profitez en portage salarial vient s’ajouter :
- Au statut de salarié et à toute la sécurité dont il permet de bénéficier (couverture sociale, cotisation retraite, mutuelle, prévoyance, PEE, titres CESU, etc).
- A un accompagnement sur mesure : conseiller dédié, accès à différents services, possibilité d’intégrer un parcours de formation spécialement conçu pour les indépendants, etc.
- A une mise en réseau avec les autres consultants de la société de portage pour créer du lien.