Une étude récente a révélé que la gestion des retards de paiement est une tâche chronophage pour les entreprises françaises. En effet, il leur faut en moyenne 77 jours par an pour gérer ce problème. Ceci impacte lourdement leur trésorerie, notamment dans ce contexte d’inflation : la perte est estimée à 53 milliards d’euros.
L’inflation et la hausse des taux d’intérêt pointées du doigt
Plus de 5 entreprises sur 10 ayant répondu à cette enquête s’attendent à une baisse de leur chiffre d’affaires cette année en raison de l’inflation et de la hausse des taux d’intérêt qui empêchent les clients de respecter les délais de paiement.
Ces entreprises s’attendent ainsi à l’augmentation des retards de paiement dans les mois à venir.
D’ailleurs, les dirigeants d’entreprise déclarent qu’ils pourront également être dans l’incapacité d’honorer leurs factures dans le temps, et seraient obligés de demander un allongement des délais de paiement.
En plus de l’inflation, de la hausse des taux d’intérêt, et des difficultés financières des clients, les entreprises françaises subissent également les effets de la perturbation de la chaîne d’approvisionnement et les contraintes liées à la réglementation et à la conformité.
À tout ceci s’ajoutent les problèmes liés à la gestion administrative.
D’autre part, elles font face à une hausse sensible des demandes d’augmentation des salaires par les employés alors que les retards de paiement pèsent déjà sur leur trésorerie.
Pour le consultant indépendant, il est possible de s’affranchir de ces contraintes en optant pour le travail en portage salarial.
En effet, en devenant salarié porté, il n’a pas à se soucier de la gestion administrative et comptable de son activité, et son chiffre d’affaires est transformé en salaires mensuels après déduction des frais obligatoires.
Pourquoi opter pour le portage salarial ?
Le consultant porté signe un contrat de travail (CDI ou CDD) avec une entreprise de portage. Ce statut lui ouvre droit à tous les avantages sociaux du salariat tout en restant autonome. Outre cela, il n’a pas à se soucier de la facturation, de l’encaissement et du recouvrement auprès de ses clients, car ces tâches sont du ressort de la société de portage.