Selon le premier ministre britannique, Rishi Sunak, le Royaume-Uni devrait bientôt renouer avec une croissance positive. Trois ans après le Brexit, le pays semble encore faire face à une crise économique et sociale, en raison de l’accélération de l’inflation qui atteint actuellement des niveaux élevés (10,5 %).
De son côté, le FMI est moins optimiste et prévoit un repli de -0,6 % de l’économie britannique en 2023. Cette baisse de performance aurait pour origine la chute des investissements des entreprises (-20 % par rapport aux autres pays du G7) et la pénurie de main-d’œuvre.
Une perte chiffrée à 100 milliards de livres par an
Une étude réalisée par des économistes a révélé que le Royaume-Uni perd 100 milliards de livres sterling, soit 112 milliards d’euros, par an depuis le Brexit. Ceci est dû notamment à la chute des investissements des entreprises : celles-ci ne disposent pas d’une vision claire sur l’avenir économique du pays et préfèrent réduire leurs dépenses.
En outre, la pénurie de main-d’œuvre affecte durement le développement de l’économie britannique.
Après le Brexit, 370 000 travailleurs européens ont quitté le pays, mettant sous tension des emplois dans de nombreux secteurs d’activité. Afin de pallier ce manque de main-d’œuvre, le gouvernement mise sur l’immigration des travailleurs venant d’autres pays, mais le problème ne semble pas encore réglé.
Les consultants indépendants en quête de missions à l’étranger peuvent saisir cette opportunité pour atteindre leurs objectifs.
Mais il convient d’opter pour une forme d’emploi sécurisée, comme le portage salarial international.
Avantages du portage salarial à l’international
En choisissant de travailler en portage salarial, le consultant qui devra exécuter une mission à l’étranger n’a pas à se soucier des démarches administratives, car celles-ci sont prises en charge par la société de portage.
D’autre part, il bénéficie d’une protection sociale adaptée à son statut et ses besoins et perçoit ses rémunérations sous forme de salaires mensuels après déduction des charges sociales.
Bien que travaillant à l’étranger, le consultant préserve ses droits en France (allocations chômage, retraite…) et bénéficie d’un accompagnement personnalisé pendant toute la durée de sa mission.